vendredi 24 février 2012

Pour mieux comprendre les interventions militaires occidentales dans ce 21e siècle


La plupart d’entre nous ce sont certainement posés cette question au vue des derniers développements géopolitiques et géostratégiques dans le monde en commençant par les fameuses « révolutions arabes », suivies de cette agression contre la Côte-d’Ivoire puis maintenant, ce qui se passe en Syrie  et viendra après le cas de l’Iran et qui sait encore  d’autres encore…Alors pour vous donner une petite idée de ce qui se passe, il nous sied de revenir sur quelques pistes que nous avions développées dans deux articles précédemment. 

Le 07 Novembre 2009, nous avions publié sur notre blog un article intitulé ײ   La Fin programmée de la démocratie dans les pays du Nord et étouffée  dans les pays du Sud ". Dans cet article, nous avions essayé de faire une analyse de ce que nous vivons aujourd’hui et surtout les raisons profondes ou encore mieux la motivation de cette fin rythmée de la démocratie alors que beaucoup de pays n’ont pas encore expérimenté cette façon de gérer de la Cité. Ensuite tout récemment nous avions aussi publié un article titré ײMaudite soit la démo-dictature", qui est un jeu de mots mais qui a tout son sens…

Pour mieux  vous plonger réellement et vous nourrir  davantage en idées, nous nous référons à une citation de  David Rockefeller, « Nous sommes à la veille d'une transformation globale. Tout ce dont nous avons besoin est la bonne crise majeure, et les nations vont accepter le Nouvel Ordre Mondial ».
La question est de savoir de quel ordre mondial parle Sieur Rockefeller ?  A l’aune de notre analyse vous comprendrez aisément qu’il ne s’agit que de l’oligarchie.

En effet, nous vivons depuis quelques années un changement radical du type de régime politique dans les pays occidentaux, avec l'avènement d'un nouveau pouvoir, celui des réseaux économiques et financiers. Voici les raisons pour lesquelles nous ne sommes déjà plus tout à fait en démocratie.

I-            Entre Oligarchie et  Ploutocratie

Nous sommes dans un régime qui se situe entre l'oligarchie (en grec, le pouvoir d'un petit nombre), une élite qui débat entre elle puis impose ses décisions à la collectivité, et la ploutocratie (le pouvoir des plus riches).

La démocratie est définie comme, le pouvoir du peuple, par le peuple et pour le peuple.

Or aujourd'hui, c'est plutôt le pouvoir des riches, par les riches et pour les riches.
Dans son ouvrage le journaliste Hervé Kempf, (2011), L'oligarchie ça suffit, vive la démocratie, l’auteur pose certaines interrogations qui doivent honnêtement nous interpeller à plus d’un titre afin de savoir quelles orientations devrions nous donner à la lutte dans notre pays.
 Kempf, H., débute ainsi, « Sommes-nous en dictature? Non. Sommes-nous en démocratie? Non plus. Les puissances d'argent ont acquis une influence démesurée, les grands médias sont contrôlés par les intérêts capitalistes, les lobbies décident des lois en coulisses, les libertés sont jour après jour entamées. Dans tous les pays occidentaux, la démocratie est attaquée par une caste. En réalité, nous sommes entrés dans un régime oligarchique, cette forme politique conçue par les Grecs anciens et qu'ont oubliée les politologues: la domination d'une petite classe de puissants qui discutent entre pairs et imposent ensuite leurs décisions à l'ensemble des citoyens.
Si nous voulons répondre aux défis du XXIe siècle, il faut revenir en démocratie: cela suppose de reconnaître l'oligarchie pour ce qu'elle est, un régime qui vise à maintenir les privilèges des riches au mépris des urgences sociales et écologiques.
Car la crise écologique et la mondialisation rebattent les cartes de notre culture politique: l'Occident doit apprendre à partager le monde avec les autres habitants de la planète. Il n y parviendra qu'en sortant du régime oligarchique pour réinventer une démocratie vivante. Si nous échouons à aller vers la Cité mondiale, guidés par le souci de l'équilibre écologique, les oligarques nous entraîneront dans la violence et l'autoritarisme
 ».
Il est de l'intérêt des puissants de faire croire au peuple qu'il est en démocratie. Mais on ne peut pas comprendre le moment présent si l'on n'explore pas la réalité soigneusement occultée : nous sommes en oligarchie, ou sur la voie de l'oligarchie.

Identifier le mal, c'est se donner les moyens de le guérir. L'histoire est fille de la liberté. L'oligarchie peut être renversée, la démocratie refleurir, le peuple prendre en main son destin, l'équilibre écologique se reformer  mais les affaires du monde sont-elles guidées par la raison ?


II-          Des citoyens au « faible rendement mental »

La critique capitaliste de la démocratie a commencé à s'affirmer au mitan du XXe siècle. Jusqu'alors, la démocratie était violemment dénigrée par le fascisme et par le marxisme.
À partir des années 1940, des idéologues capitalistes ont commencé eux aussi – alors que le fascisme était défait – à critiquer l'idéal démocratique. Une analyse majeure est de ce point de vue celle de l'économiste Joseph Schumpeter, qui publia en 1942 aux États-Unisson maître-ouvrage Capitalisme, socialisme et démocratie. Persuadé que l'étalon de la rationalité était celui de l'entrepreneur cherchant à maximiser son profit, le professeur de Harvard s'attaquait à la théorie libérale de la démocratie, en commençant par démontrer l'inanité du concept de bien commun. De même, le « peuple » n'avait pas de substance : la « volonté des citoyens » se réduisait à « un ramassis confus de vagues impulsions mollement rattachées à des slogans tout faits et à des impressions erronées ». Quant au citoyen, manipulé par les partis, conditionné par la publicité, occupé de ses affaires personnelles, il ne pouvait être rationnel : « Le citoyen typique, dès qu'il se mêle de politique, régresse à un niveau inférieur de rendement mental […], il redevient un primitif ».
Ainsi, pilotée par les politiciens, « la masse électorale est incapable d'agir autrement que les moutons de Panurge ». Ce diagnostic conduisait Schumpeter, qui ne prenait cependant pas explicitement position contre la démocratie, à réduire celle-ci à une procédure : « La méthode démocratique est le système institutionnel, aboutissant à des décisions politiques, dans lequel des individus acquièrent le pouvoir de statuer sur ces décisions à l'issue d'une lutte concurrentielle portant sur les votes du peuple. » C'est dire que la politique se réduit à une joute entre partis pour capter d'élection en élection les faveurs d'une masse à peu près stupide et conditionnée.
«Cette circonstance, poursuit Schumpeter, impose aux hommes placés au gouvernail ou près du gouvernail une vision à court terme et leur rend extrêmement difficile l'accomplissement des efforts persévérants orientés vers des fins à peine distinctes qu'impliquerait le service des intérêts à long terme du pays. » Ironie de l'histoire, Schumpeter reprenait la métaphore de Mussolini : « Le Premier ministre d'une démocratie pourrait être comparé à un cavalier si complètement absorbé par ses efforts pour rester en selle qu'il ne peut diriger sa course. » Au total, dans la vision de MM. Berlusconi et Schumpeter, on peut distinguer ainsi la dictature et la démocratie : dans le premier cas, le chef ne peut que commander à son cheval, dans le second, il ne peut qu'essayer de ne pas être désarçonné.
Quel était le pronostic final du professeur pour limiter les dégâts de ce système si médiocre ?  Constituer une sorte de classe de dirigeants « de suffisamment bonne qualité », « une “strate” sociale, formée par un processus de sélection sévère, dont les éléments s'orientent tout naturellement vers la politique ».
Qu'à bien des égards, la description de Schumpeter correspond  à la situation actuelle, on peut l'admettre. Qu'elle corresponde à la démocratie est une autre affaire. On y reviendra. Mais en chemin, il faut d'abord s'arrêter à une autre étape majeure de la critique capitaliste de la démocratie. Il s'agit de l'analyse de la Commission Trilatérale, publiée en 1975, et intitulée Crisis of Democracy. La Commission regroupe depuis son origine en 1973 des dignitaires politiques et économiques provenant des États-Unis, d'Europe et du Japon, afin de « renforcer la coopération entre ces trois régions ».

Le chapitre le plus significatif du rapport de 1975 concernait les États-Unis et était rédigé par Samuel Huntington, le même Huntington qui s'illustrerait plus tard en théorisant le « choc des civilisations » censé opposer l'Occident à l'islam – une théorie qui ferait le miel des néoconservateurs et d'une présidence aussi magnifiquement démocratique que celle de George W. Bush.
Que disait le rapport de la Trilatérale ? Il célébrait la démocratie, mais pour en déplorer les excès. « La décennie 1960 a témoigné de la vitalité de l'idée démocratique. Elle a été une décennie de poussée démocratique et de réaffirmation de l'égalitarisme démocratique. » L'auteur n'avait pas besoin de citer ce qui était alors évident pour tout le monde : la lutte contre la guerre au Vietnam, les mouvements de Mai 68, la révolution hippie, l'énergie populaire qui avait poussé partout à l'amélioration des revenus du travail.  Inconvénient de cette effervescence : « La vitalité de la démocratie aux États-Unis dans les années 1960 a engendré une augmentation substantielle de l'activité gouvernementale et une diminution substantielle de l'autorité gouvernementale. » Au moment de la rédaction de l'ouvrage, le président Richard Nixon venait d'être contraint à la démission après qu'il eut été prouvé qu'il avait commandité la pose d'un système d'écoutes téléphoniques au siège du Parti démocrate, dans l'immeuble Watergate.
En fait, concluait Huntington, « plusieurs des problèmes de gouvernance aux États-Unis aujourd'hui découlent d'un excès de démocratie […]. Ce qui est nécessaire est un degré plus grand de modération dans la démocratie ». L'habitude qui s'était prise d'exprimer son point de vue était décidément gênant : « Le bon fonctionnement d'un système politique démocratique requiert habituellement une certaine mesure d'apathie et de non-engagement d'une partie des individus et des groupes. »
M. Huntington concluait en ces termes : «Nous en sommes venus à reconnaître qu'il y a potentiellement des limites désirables à la croissance économique. Il y a aussi potentiellement des limites désirables à l'extension indéfinie de la démocratie politique. » Par le plus infortuné des hasards, la croissance ne serait pas remise en question par la suite par les affidés de la Trilatérale. Pour ce qui est de l'extension de la démocratie, en revanche…

Dans la belle théorie de M. Schumpeter, il y avait un point que le digne professeur avait bien vu, mais qu'il avait relégué dans une note de bas de page, sans chercher à exercer sa verve cynique. À propos des « intérêts capitalistes organisés », il remarquait : «On doit reconnaître que des ressources privées sont fréquemment employées aux fins d'interférer avec le fonctionnement du mécanisme de commandement concurrentiel. » Et ? Rien ! Le citoyen est un primitif, le peuple n'existe pas, mais l'interaction entre les intérêts capitalistes organisés et la démocratie ne vaut pas plus que deux lignes. De même, la Trilatérale, trente ans plus tard, entr'apercevrait l'ombre de l'esquisse d'un problème : dans des « remarques », un membre de la commission observait « un nouvel aspect » : « Les gouvernements démocratiques peuvent éprouver des difficultés à faire face au pouvoir d'institutions extraparlementaires […].  Je pense à deux puissantes institutions économiques – les compagnies géantes et les syndicats grands et puissants. »  On sait ce qu'il est advenu des « grands et puissants syndicats ». Mais des compagnies géantes ?

C'est David Rockefeller, membre de la Trilatérale et président de la Chase Manhattan Bank, qui allait donner la réponse en 1999 dans Newsweek : « Dans les dernières années, une large partie du monde a tendu vers la démocratie et les économies de marché. Cela a amoindri le rôle des gouvernements, ce qui est quelque chose à quoi les hommes d'affaires sont favorables. Mais l'autre aspect de ce phénomène est que quelqu'un doit prendre la place du gouvernement, et les entreprises [business] me semblent être l'entité logique pour le faire. »
La boucle pouvait alors se boucler : il ne restait qu'à bien exercer « la technologie du pouvoir démocratique qui permet aux classes dirigeantes de contrôler le peuple au nom de la légitimité populaire ». Et puisque cela marche si bien, on peut même lancer quelques ballons d'essai sur l'idée de dictature. Bienfaisante, bien sûr.


III-       Le glissement vers l'oligarchie

Le sommet de Copenhague fut, du point de vue journalistique, un moment extraordinaire. Et pourtant, malgré l'intensité foisonnante de ces journées qui paraissaient dépasser vingt-quatre heures.
Ryszard Kapuscinski était un reporter polonais qui a écrit, jusque dans les années 1980, des reportages parmi les plus beaux que nous connaissons.
Dans Le Shah, décrivant l'Iran sous le règne de Reza Pahlavi entre 1941 et 1979, il dresse un tableau glaçant de ce qu'est une dictature: la somme incroyable de violence et de souffrance qu'entraîne le pouvoir d'un tyran convaincu de sa raison, la peur du policier et de la dénonciation qui paralyse la conduite de chacun, la méfiance de tous envers tous, jusqu'entre parents et enfants.
Dans cette pérégrination littéraire sans finalité apparente, Kapuscinski,  « Ce n'est pas l'être humain qui, de nature, est mauvais, dépravé, mesquin, mais le système dans lequel il est amené à vivre. C'est pourquoi Hérodote est un défenseur acharné de la liberté, un adversaire du despotisme, de l'autocratie et de la tyrannie, car il considère que seule la démocratie permet à l'individu de se comporter avec dignité, d'être lui-même, d'être humain. “Regardez, semble nous dire Hérodote, un minuscule groupe d'États grecs a réussi à vaincre une immense puissance orientale ! Pourquoi ? Parce que les Grecs se sentaient libres et, pour cette liberté, ils étaient prêts à tout donner.” »
Ce portrait pourrait être celui de l'esprit qui a présidé à l'invention de la démocratie.

IV-        Sommes-nous déjà en oligarchie ?

Revenons à nos écologistes de Copenhague. Le fait majeur qui définit notre époque : la crise écologique et la nécessité impérative d'en prévenir l'aggravation si nous voulons éviter le chaos d'une communauté humaine. Mais d'abord : que se passe-t-il ? Qui sont les auteurs de ce  chao ?
On se rappelle le raisonnement des écologistes: la crise écologique est d'une gravité telle qu'il faut prendre des mesures radicales pour la prévenir. Mais les citoyens d'aujourd'hui refusent de changer leur mode de vie destructeur. Dès lors, les dirigeants qu'ils élisent ne prennent pas les mesures qui s'imposent. La démocratie est défaillante ?
Ce raisonnement renforce involontairement les tendances autoritaires du capitalisme, on l'a vu. Surtout, il repose sur un postulat erroné : il suppose que nous sommes en démocratie, et que celle-ci fonctionne bien. Mais sommes-nous en démocratie – un régime où le peuple gouverne, ses représentants mettant en œuvre la volonté populaire ? Ou vivons-nous dans une apparence de démocratie ?  Dans une oligarchie travestie en démocratie ? Une oligarchie, c'est-à-dire un régime où un petit nombre, une étroite couche dirigeante, discute et adopte en son sein les décisions qu'il lui paraît nécessaire de prendre ?
Nous avons employé systématiquement le terme d'« oligarchie » pour caractériser la situation actuelle. Mais en laissant subsister une ambiguïté qu'il faut éclaircir : car le terme désigne à la fois une réalité sociologique,  l'oligarchie regroupe les oligarques, les membres de l'oligarchie – et un système politique – l'oligarchie par opposition à la démocratie ou à la monarchie. Ainsi, l'on vit à la fois en état d'oligarchie et sous la direction d'une oligarchie. Ceci est observable dans les grandes démocraties et le pire est dans les pays de la zone  de la fédération des colonies française d’Afrique (FCFA).
Aussi imparfaite qu'elle fût avant 1980, la démocratie était autrement vivante que le régime que nous connaissons. La question en cette deuxième décennie du XXIe  siècle est dès lors celle-ci : sommes-nous d'ores et déjà en oligarchie ? Sinon, à quel degré exactement nous situons-nous dans le glissement de la démocratie vers l'oligarchie ?
Il est heureux que la perception du problème émerge enfin. Le concept s'est réintroduit dans le vocabulaire politique à la faveur du pillage des biens collectifs organisé en Russie, lors de la chute de l'URSS, par des membres de la nomenklatura soviétique et des malandrins qui avaient commencé à prospérer durant les années précédentes. Le terme d'« oligarques » est ainsi entré dans le langage courant. Mais tout se passait comme s'il s'agissait d'une sorte d'anomalie russe, ce peuple souvent considéré comme bizarre et jamais vraiment civilisé. Que de condescendance !
La réalité du pillage organisé par les capitalistes dans le « monde libre » a fini par percoler dans les cervelles les plus obtuses, et l'on voit le mot d'« oligarchie », si précis et exact, s'insinuer dans le langage. Il paraît approprié pour décrire la situation de pays du Sud : à propos des Philippines, du Gabon, du Togo, du Burkina-Faso ou de la Chine.
Et l'on découvre que le terme est utile pour comprendre les États-Unis, où, à l'occasion de la suppression du plafond de financement électoral par les entreprises, un internaute du Washington Post s'alarme de la « marche vers l'oligarchie », tandis qu'un éditorialiste incrimine dans un article sur le « crépuscule des élites » les « vieilles et grosses oligarchies ».
Chez quelques intellectuels audacieux, le mot s'installe : Éric Hazan, pour qui le mot « peuple » a du sens, désigne « les membres de l'oligarchie au pouvoir », Le Monde diplomatique titre un dossier « Triomphe de l'oligarchie », tandis qu'Emmanuel Todd constate la « proximité exhibée » de M. Sarkozy avec l'« oligarchie ». Les sociologues Michel Pinçon et Monique Pinçon-Charlot analysent en détail la politique du président français comme l'expression impudente de la classe oligarchique. Même le prudent Marcel Gauchet, théoricien conformiste de la démocratie libérale, tente d'analyser l'« oligarchisation ».
Mais on tourne autour du pot : on aborde l'oligarchie comme un groupe social, comme une sorte de mise au goût du jour du concept marxiste de « bourgeoisie », sans oser la penser comme le régime dans lequel le capitalisme est en train de nous faire glisser, pour autant que nous n'y soyons pas déjà enfermés.
Pourtant, on sent bien que la démocratie va mal. Croire à sa robuste définition, celle donnée, par exemple, par les grecs – « gouvernement du peuple, par le peuple et pour le peuple » –, semble extravagant. Cependant on ratiocine, on soupèse, on tergiverse, on entoure le malade de myriades de qualificatifs, supposés définir le symptôme ou le remède : la démocratie serait-elle « d'opinion », « d'influence », « participative », « médiatique », « d'action », « d'élection », doit-elle être « sociale », voire « adulte » ? 


Les savants ne savent pas et pataugent jusqu’ alors ? Parce qu'ils renâclent à formuler l'hypothèse qui s'impose : nous ne sommes plus en démocratie dans les pays occidentaux et dans les pays colonies africaines françaises, car c’est comme ça qu’il faut désormais les appeler, nous sommes dans les ténèbres épaisses du sarkozisme et du syndicat de banditisme international de casseurs de gueules.

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